@article{oai:kobe-c.repo.nii.ac.jp:00002216, author = {内田, 樹 and UCHIDA, Tatsuru}, journal = {女性学評論, Women's studies forum}, month = {Mar}, note = {P(論文), Avev Beineix et Annaud, Luc Besson(1959-)fait partie d'une nouvelle generation des cineastes francais. "Le Grand Bleu"de Besson a ete un evenement pour le cinema francais des annees 80. Personne ne peut nier le fait que ce film a obtenu des appuis enthousiastes parmi les jeunes. Mais il n'est pas facile de repondre la question:"En quoi consiste la charme du film?" Beaucoup d'articles qui ont paru le lendemain du festival de Canne 1988 ont critique severement le film en disant qu'il n'y avait rien que de l'image. Certes,il n'y a rien que de l'image. Mais il n'est pas impossible de trouver, dans les images eparses sur la surface du film, ce qui persevere a se repeter. Dans le present essai, je vais analyser quatre films de Besson: "Le Grand Bleu", "Subway", "Nikita" et "Leon"pour faire ressortir sa propre machine cinematographique, ce qui inconsciemment regit et relie les images apparemment fragmentaires.}, pages = {105--127}, title = {大いなる青 - リュック・ベッソンの冥界}, volume = {11}, year = {1997}, yomi = {ウチダ, タツル} }